Nombre de chants disponible : 435 |
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J'adore Dieu dont la- puissance: Ich bete andie Macht- der Liebe EG 651.1,2,6; RA 529
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ICH BE°TE AN° DIE MACHT- DER LIE°BE, dans le
Complément au RA de 1952: les N°501-555
(RA 529,1-3) EG 651,1.2.6 en Sib(2b)
Mélodie EG 651:
fa ré° mib fa° sib do-sib la sib° fa 1=3
sol sib sol fa° ré fa-mib ré do°/ ~ :|]
fa ré° mib fa° sib do-sib la sib° fa 3=1
sol sib sol fa° ré sol.-fa' mib'-ré' do° +
fa la° fa sib° fa ré-do sib sib° la
sib la sol fa° ré sol-fa mib ré°.-do°. sib°.°
l.
J'ado°re Dieu° dont la- puissan°ce
se manifes°te en son- amour°:/
C'est par° Jésus° que je- m'élan°ce
pour le servir° mieux en.-' re'-'tour. +
Au lieu° de vi°vre pour- moi -mê°me
je veux m'offrir° à Dieu- qui m'ai°.-°.me°.°!
2.
Combien° profon°de est la- tendres°se
qui fait° pencher° ton cœur- vers moi°!/
Vaincu° en Christ°,le mien- s'empres°se
de se livrer°, Sei|gneur.-',à'-' toi° +
De ton° amour° tu m'en-viron°nes:
en m'approchant°,tu me- façon°.-°.nes°.°!
3. (st.6 en EG 651)
Jésus°,fais que° ton Nom- demeu°re
gravé au plus° profond- du cœur°!/
Que ton° amour° soit à- toute heu°re
la source de° mon vrai.-' bon'-'heur° +
pour que° mon af°fection- ,bon Maî°tre,
jamais ne ces°se d'ap-paraî°.-°.tre°.°!
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D'après: Ich be°te an° die Macht- der Lie°be,|die sich in Je°sus of-fenbart° De: Gerhard Tersteegen,1697-1769(1757)
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Version Allemande: D'après : Ich bete an die Macht der Liebe De: Gerhard Tersteegen 1751 st.3 / 1757 (st 1+2) RA 529:1-3; EG2
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EG: 651 RA: 529
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Mél:Ich be°te an° die Macht- der Lie°be
(RA 529,1-3) EG 651;AL 21-O9; 43-O7
de: Dimitri Stepanowitsch Borniansky 1822.
[cf. pour la mélodie L.P.297,1-3:
O Dieu de grâces éternelles]
Text de Gerhard Tersteegen(1697-1769)1757
la st 3. de RA 529 correspond à la
str 6. du EG 651 et date de 1751.
Texte en français: adaptation par Georges
Pfalzgraf<(1993: st 1.+2.)et la st 3. =
6. du EG 651,en 2OO3)
La mélodie du premier couplet est reprise
dans le second couplet sauf à la fin du
vers 4 où mél et rythme changent un peu
pour l'assemblée qui ensuite poursuit son
chant jusqu'à la fin de la strophe.
Le couplet final se compose de deux vers
qui se terminent par la même rime. Cela
me semble un indice suggestif qui donne
lieu à un REFRAIN mélodique en relief
avec chaque fois un autre texte!
Pour bien le mettre en relief, il suffit que
le groupe I qui entonna le chant par le
premier couplet,revienne à la charge à +
pour joindre ses voix à celles de l'assemblée.
On obtient ainsi un REFRAIN mélodique en
emphase avec un texte chaque fois variable
à la fin de chaque strophe. C'est un plus
esthétique et textuel plus riche et de plus
agréable à l'ouïe]. GP |
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